Thursday, March 4, 2021

Champions League 2010 2011 "El Clasico" Barcelona Real Madrid

Semi Final, Second Leg
3 may 2011
Camp Nou, Barcelona

Referee: F. De Bleeckere
 Suspendu après son exclusion mercredi dernier au match aller contre Barcelone (0-2), José Mourinho devra donc voir la rencontre, ce soir, depuis une loge privée du Camp Nou. Selon le règlement de l'UEFA, le coach du Real ne sera pas autorisé à communiquer avec son staff. Il sera contraint de faire confiance à un groupe de quatre intimes collaborateurs. Une équipe composée d'Aitor Karanka, l'entraîneur-adjoint, de Rui Faria, le préparateur physique, de Silvino Louro, l'entraîneur des gardiens, et de José Morais, le conseiller technique. Ces trois derniers étaient déjà aux côtés de « Mou » la saison dernière à l'Inter Milan pour la conquête de la Ligue des champions. Faria et Louro accompagnent même Mourinho depuis de nombreuses années. 

Serie A 1995 1996 » Atalanta Milan

11 fevrier 1986

Atleti Azzurri d'Italia 

Bergamo

 

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"The Fergie's Furies" : Aberdeen Real Madrid Cup Winners Cup Final 1982 1983

Final 11 May 83
Ullevi Stadium Goteborg

  Aberdeen opened up 1982-83 with a visit from Ipswich for Drew Jarvie's testimonial, from which Miller was conspicuously absent. Eventually a new deal was thrashed out and he remained with the club, and the fact that Miller opted to stay at Pittodrie spoke volumes about the changing balance of power in Scottish football. The Dons were faced with a fixture headache almost at once, when they drew the short straw and had to play a preliminary Cup-Winners' Cup-tie against Sion of Switzerland in August. Having to play in Europe so early was hardly ideal, but the Dons surged out of the traps, hitting the luckless Swiss for seven at Pittodrie. The return in a picturesque Alpine setting was little more than a holiday for the Dons.

Update


Premier League 2011 2012 Liverpool Arsenal

3 March 2012
Anfield Road,
Liverpool

Referee: M. Halsey
Attendance: 44922 


  Apres deux saisons hors du Big Four (7e puis 6e), Liverpool tente de revenir sur le devant de la scène. Le club de la Mersey a d'abord gagné la paix sociale avec le départ des propriétaires texans Tom Hicks et George Gillett et il s'est donné de nouveaux moyens financiers grâce au rachat par un autre Américain, John Henry. Depuis la vente de Fernando Torres à Chelsea, en janvier dernier, pour 58 M€, le club en a dépensé plus du double (126 M€ environ) pour acquérir Carroll (40), Suarez (25,2), Downing (22,9), Henderson (22,9), Adam (8,6) et José Enrique (6,9). 

TO UPDATE Uefa Cup 1985 1986 Final Real Madrid Fc Köln Both Legs 2nd leg TO UPDATE

  Le Real Madrid n'a de problèmes, ni de jeunesse, ni d'argent. Berceau et creuset du football espagnol, compétiteur fervent de la tradition, émanation d'une structure exemplaire bâtie sur la possession de ses biens (stade, siège, cité sportive), la participation des socios-abonnés, la gestion et une stricte administration, il est, avec Barcelone, Naples, la Juventus, Manchester United, Feyenoord et quelques autres, l'un des clubs les plus puissants du monde. Il l'a prouvé en conquérant - record absolu - six Coupes d'Europe des Clubs Champions, une Coupe de l'U.E.F.A., et en jouant quelques autres finales (trois en C,, deux de C2). Le Real Madrid n'allait pourtant pas très bien, ces dernières années, atteignant même le fond durant la saison 1984-1985, ce qui, avec lui, ne va jamais très profond. Il avait alors appelé son homme-fétiche, Luis Molowny, un ancien joueur de talent recouvert! en technicien-manager. Quatre fois, Molowny a repris la barre en cours de saison, succédant à Munoz, Miljanic, Boskov et Amancio et, à chaque fois, remettant le bateau en ligne. En 1985-1986, le Real Madrid creuse sa route sans faiblesse avec une attaque à trois pointes qui, il est vrai, n'a pas d'équivalent : Valdano l'Argentin, futur champion du monde ; Hugo Sanchez le Mexicain ; Emilio Butragueno le petit prodige espagnol, sans oublier les deux glorieux anciens et réservistes Juanito et Santillana, le feu-follet fou et le buteur monté sur ressorts. 

Best And Marsh Their Greatest Games

George Best and Rodney Marsh, two of the most talented and famous footballing names of the seventies, talk us through memorable highlights of their immortal heyday. They begin with their own brilliant individual skills, with Best's goal feast against Northampton, a Marsh hat-trick for Q.P.R. and then both of them performing their magic for Fulham.This is followed by a look at goalkeepers with Best and Marsh perhaps the best qualified to assess the relative abilities of the likes of Banks and Jennings, as save after miraculous save shows what a force these men were.
The debate about teams and managers uses exciting and nostalgic film of the contrasting dough's Derby County and Revie's Leeds sides, with dough's ability to lift an ordinary team to extraordinary heights, and Revie's machine which ground out an endlessly attritional football formula. The final discussion is reserved for the special place Liverpool holds in English football, with classic clips of their great teams of the 70"s with wave after wave of Keegan, Hughes, McDermott, Dalglish et al as they irresistibly crush the opposition, including a quite astonishing 7-0 demolition of a talented Spurs side.