Sunday, October 30, 2011

World Cup U 20 1979: Argentina Yugoslavia


28/8/1979
Omiya Football Stadium
Referee: Andre Daina


Yugoslavia: Ivkovic, Jankovic, Zivkovic,
Djurovski, Gudelj, Bazdarevic, Varga (Cakalic),
Milosavljevic, Milosavljevic, Mitrovic,
Mlinaric (Elsner), Capljic. Coach: Ivan Toplak
Argentina: García, Simón, Alves, Carabelli,
Rossi, Escudero (Torres), Barbas, Ramón Díaz, Maradona,
Calderón (Mezza), Rinaldi. Coach: César L. Menotti. 
Comments: japanese


Monday, October 24, 2011

English Leagues the 70s: The Manchester Derby City United 1976 1977

25 September 1976
Main Road,
Manchester


It can count among its regular ten million viewers a Cabinet minister, the Chinese ambassador in London, a score of the top comics in the country (but they watch the programme for football, not for laughs!) and nearly every football director, manager and player who doesn't dine out that particular night of the week. Police and solicitors are regularly in touch with the programme planners because somewhere in the land the precise timings of the programme are needed to try to get some unfortunate into or out of jail as a result of that person claiming he was in watching a game on Match of the Day. We have gently busted a few seemingly good alibis! Match of the Day is the oldest football programme. It began in 1964. One match only used to be shown. Then one main match and a different second smaller match which was shown in different BBC regions of the country. Now the best content is two matches shown nationally—one at thirty minutes in length, the other at fifteen minutes. Although the viewers know the presenters and commentators like Jimmy Hill, David Coleman, Barry Davies, John Motson and Alan Weeks there is a small army of people who are behind each programme roughly 200 persons are involved, all important and all extremely loyal to and proud of Match of the Day.

English Leagues the 70s: The Manchester Derby City United Division One 1978 1979

10 February 1979
Main Road,
Manchester


 En championnat, les Verts et les Diables Rouges ont terminé respectivement quatrième et sixième (avec treize et dix points de retard sur le premier). Ils ont l'un et l'autre donné des joueurs aux sélections nationales de France, d'Angleterre, d'Ecosse et de l'Irlande du Nord et leur chemin pour remporter la Coupe de leur pays fut laborieux. Mais quel est ce club, l'un des plus populaires du monde ? Au sujet de cette popularité, notez qu'une carte de supporter coûte deux livres (dix-huit francs environ) et que des membres existent sur tous les continents. Manchester United c'est d'abord un stade: Old Trafford, La Mecque de milliers de supporters. Le décor y est typique de cette région industrielle : la ligne de chemin de fer à quelques mètres des tribunes, les maisons en briques rouges les unes sur les autres dans la Warwick Road, les policiers à cheval tempérant la générosité des fans et le stade lui-même entouré de barbelés pour éviter les resquilleurs. Soixante mille cinq cents personnes peuvent y prendre place ce qui permet au club de compter les meilleures affluences du royaume. Même le célèbre Kop de Liverpool ne peut aligner les mêmes chiffres. Mais, contrairement aux « Rouges » d'Anfield Road, les «Diables Rouges» d'Old Trafford sont autrement plus féroces. Il faut les avoir vus déferler dans Londres, les jours où United se rend dans la capitale pour comprendre le danger et la fureur de ces « Hooligans ». Certes, ils ne sont pas tous de la même trempe mais la majorité ressemble plus à des « punks » en mal de concert qu'à des supporters cherchant le chemin d'un stade. Mais oublions le mauvais côté du club (quoique le trésorier ne peut que se frotter les mains devant l'affluence aux guichets de tels énergumènes). C'est en 1878 que le club fut créé mais son nom de Manchester United ne lui fut donné qu'en 1902. Et depuis cette date les « Diables Rouges » ont souvent fait parler d'eux dans les compétitions nationales et internationales. Sept fois champions d'Angleterre (dernier titre : 1968), quatre victoires dans la Cup, une en Coupe d'Europe des Clubs Champions et une en Coupe des Vainqueurs de Coupes. Mais, en dix ans, le club n'avait pas réussi à enlever le titre depuis qu'un beau jour du mois de mai 1968, United avait battu Benfica en finale de la Coupe d'Europe (4-1) à Wembley. C'était la grande époque des Bobby Charlton, Stiles et autre Georges Best, mais aussi celle d'Alex Stepney, le gardien de but que l'on retrouve aujourd'hui encore, toujours fidèle au poste. Ce qui démontre bien la valeur du vieil Alex, encore qu'après plus de cinq cent cinquante matches professionnels, ses réflexes laissent parfois à désirer. Chacun des éléments qui composent la formation de United est un joueur de valeur.

Umbro Cup 1995: England Brazil


Data (Date): 11-06-1995
Competição (Competition): Copa Umbro (Umbro Cup)
Local (Place): Estádio Wembley
Cidade (City): Londres (Inglaterra/England)
Árbitro (Referee): Pierluigi Pairetto (Itália/Italy)

Inglaterra (England): Flowers; Neville, Scales (Barton),Cooper e Pearce; Anderton, Platt, Batty (Gascoigne) e
Le Saux; Shearer e  Sheringham (Collymore)Técnico (Coach): Terry Venables

Brasil (Brazil): Zetti, Jorginho, Aldair (Ronaldão),Márcio Santos, Roberto Carlos, César Sampaio, Dunga,Juninho Paulista (Leonardo), Edmundo, Ronaldo(Giovanni). Técnico (Coach): Zagallo

Thursday, October 20, 2011

Leeds United The White Video

 George Graham has turned Leeds United into a défensive mean machine, stringing together another run of five clean sheets, and beating Leicester, West Ham, Pearce and Arsenal on the way. Its no coïncidence that Graham has signed two défensive players and we talk to Gunnar Halle and Robert Molenaar about playing under thé Great Defender and goal-keeping coach John Burridge talks about the qualities that have Nigel Martyn an England contender.

Monday, October 17, 2011

Euro Cup 1976 Quarter Final France USSR (U 23) 1st Leg

April 20, 1976
Paris
Parc des Princes
Attendance: 20.000
Referee: D. Carpenter (Ireland)

France: 1 - Dominique Dropsy, 2 - Gerard Janvion, 3 - Maxime Bossis, 4 - Christian Lopez, 5 - Marius Tresor, 6 - Henri Michel, 7 - Jacques Zimako, 8 - Dominique Bathenay ( 14 - Alain Giresse 36 '), 9 - Bernard Lacombe, 10 - Gilles Rampillon, 11 -  Christian Sarramagna. Coach: Michel Hidalgo.

USSR:  1 - Victor Radaev, 2 - Victor Kruglov, 3 - Alexander Bubnov, 4 - Valeri Goncharov, 5 - Armenak Sarkisyan, 6 - Yuri Adzhem, 7 - Khoren Oganesyan (16 - Ramaz Shengelia 46 '), 8 - Mikhail Ahn, 9 - Vladimir Fedorov, 10 - Yuri Kovalev, 11 - David Kipiani. Coach: Valentin Nikolaev.

Goals scored: Rampillon 25', Shengelia 53', Zimako 5

Saturday, October 15, 2011

Campeonato Brasileiro 1989: Internacional Vasco


Domingo, 10 de dezembro de 1989.
Internacional 0x2 Vasco
Estádio: Beira-Rio
Árbitro: Manoel Serapião Filho


Internacional: Ademir Maria, Chiquinho, Norton,
Maurício, Casemiro; Norberto, Bonamigo, Luvanor;
Zé Carlos (Roberto Carlos), Nélson e Marquinhos
(João Carlos). Técnico: Carbone


Vasco: Acácio, Luís Carlos Winck, Marco Aurélio,
Quiñónez, Mazinho; Zé do Carmo, Boiadeiro;
Bismarck; Bebeto (Vivinho), Sorato e Tato
(William). Técnico: Nelsinho Rosa

Copa Ouro 1987: América México Vasco



11/06/1987
Estádio Coliseu (LA-EUA)


América: Zelada, Herrera, Manzo, Tena,
Luna, Farfan, Dominguez, Ortega, Zague,
Amuchastegui, Hermosillo.


Vasco: Acácio, Paulo Roberto, Moroni, Donato,
Pedrinho, Dunga, Geovani, Tita, Mauricinho,
Roberto, Romario.


Narração: espanhol

Friday, October 14, 2011

Olympic Games 1980 USSR Yugoslavia Bronze medal match

August 01, 1980
Dinamo Stadium, Moscow
Attendance: 51.000
Referee: Robert B. Valentine (Sco)
Assistants Referee:
Guillermo Velasquez (Col),
Marwan Arafat (Syr)
USSR: Rinat Dasayev, Tengiz Sulakvelidze, Alexander Chivadze, Vagiz Khidiyatullin, Oleg Romantsev, Sergei Shavlo, Sergei Andreev, Vladimir Bessonov, Yuri Gavrilov, Fedor Cherenkov (72`Sergei Baltacha), Valery Gazzaev (46`Khoren Oganesyan). Coach: Konstantin Beskov.

Yugoslavia:  Tomislav Ivkovic, Nikica Cukrov, Ivan Gudelj, Nikica Klincarski, Miso Krsticevic (78`Srebenko Repcic), Dzevad Secerbegovic, Dusan Pesic, Boro Primorac, Milos Sestic, Zlatko Vujovic, Zoran Vujovic. Coach: Ivan Toplak.

Goals scored: 67' Khoren Oganesyan , 82' Sergei Andreev.

Tuesday, October 11, 2011

Euro 2011 Qualifying Italia Serbia

October 2011
Crvena Zvezda Stadion,
Belgrad

Referee: P. Proença

 La Serbie, tenue en échec par l'Italie (1-1) vendredi à Belgrade, a besoin d'une victoire en Slovénie mardi pour décrocher une place de barragiste pour l'Euro-2012, dans le groupe C où la Nazionale , qui avait déjà son billet pour l'Ukraine et la Pologne, a maintenu son invincibilité. En gagnant dans les dernières minutes en Irlande du Nord (2-1), alors qu'elle était menée 1-0, l'Estonie est passée devant la Serbie, qu'elle devance à la différence de buts particulière (3-1, 1-1). La Serbie doit donc s'imposer à Ljubljana pour terminer deuxième. L'Estonie, elle, a bouclé son parcours dans le groupe C et suivra le match à la télé en espérant rejoindre les barrages pour se qualifier pour la première fois pour un grand tournoi. 

 Après le match aller arrêté au bout de 6 minutes à cause des violences des supporters serbes, et gagné 3-0 sur tapis vert par l'Italie, la rencontre a commencé dans une ambiance assez hostile avant de se calmer. L'Italie, partie pied au plancher, a ouvert le score au bout de 45 secondes grâce à un but de Claudio Marchisio, décalé par Giuseppe Rossi. Marchisio est l'homme en forme en Italie: il a marqué on premier but international cinq jours après son doublé contre l'AC Milan avec la Juventus Turin (2-0), dans le match au sommet du championnat. Mais après vingt minutes brillantes, l'équipe de Cesare Prandelli a relâché sa pression, et le défenseur de Chelsea Branislav Ivanovic, sur les fesses, a dévié dans le but une frappe de Zoran Tosic pour l'égalisation (25). En seconde période, la Serbie a nettement dominé et cherché la victoire, devant une Italie qui avait baissé de pied, mais elle n'a pas réussi. Il faudra gagner en Slovénie.

Sunday, October 9, 2011

Campeonato Brasileiro 1990: São Paulo Corinthians (final, 1st leg)


13/12/1990 - Quinta-feira
Local: Morumbi (São Paulo-SP)
Público: 85.463;
Árbitro: José Aparecido de Oliveira (SP);


SÃO PAULO: Zetti, Cafu, Antonio Carlos,
Ivan e Leonardo; Flávio, Bernardo e Raí;
Mário Tilico (Alcindo), Eliel e Elivélton.
Técnico: Telê Santana.


CORINTHIANS: Ronaldo, Giba, Marcelo Djian,
Guinei e Jacenir; Márcio (Ezequiel),
Wilson Mano e Neto; Fabinho (Marcos Roberto),
Tupãzinho e Mauro. Técnico: Nelsinho Baptista.

Tuesday, October 4, 2011

Serie A 2011 2012 Juventus Turin Milan Ac

2 October 2011
Juventus Arena,
Turin
Referee: N. Rizzoli Attendance: 24000  

  Cette Juventus là est transfigurée par rapport à celle des deux dernières saisons, au terme desquelles elle avait fini deux fois 7e en Championnat. Hier, dans sa nouvelle enceinte, le Juventus Stadium, l'équipe turinoise a très largement dominé un Milan asphyxié. Les hommes d'Antonio Conte auraient eu des tonnes de regrets s'ils n'avaient pas réussi à concrétiser cette emprise absolue sur ce match. Ils ont su finalement forcer le verrou en toute fin de rencontre, avec deux buts de Claudio Marchisio, né à Turin et formé à la Juve (87e et 90e + 3). Le match s'est terminé sur le score de 2-0, mais il aurait pu être plus lourd. 
 Après cinq matches de Championnat, la Juve, qui n'a pas encore connu la défaite cette saison en Série A, est en tête, avec le même nombre de points que l'épatante Udinese. Elle a répondu hier soir à Naples qui avait été flamboyant samedi à Milan contre Tinter (3-0) et se trouve ce matin à une longueur de la formation piémontaise. Le club turinois repousse à six points l'AC Milan, actuel 15e et qui compte seulement cinq points, comme Novare et Sienne, deux promus. Les Rossoneri ont été inexistants hier soir. Ils ne se sont procuré qu'une seule occasion, à la 51e, avec une frappe de Kevin-Prince Boateng détournée par Buffon. C'est tout, et c'est trop peu pour le champion d'Italie en titre. Les deux attaquants Zlatan Ibrahimovic et Antonio Cas-sano ont été invisibles, mais ils n'ont pas été les seuls fautifs puisqu'ils n'ont pas eu un ballon exploitable. Le Milan a aussi perdu Alessandro Nesta, blessé au genou droit et sorti à vingt minutes de la fin.

La Juve apparaît déjà comme un candidat crédible au Scudetto, avec l'avantage, par rapport au Milan, à l'Inter, à Naples, de n'avoir pas de matches de Coupe d'Europe à jouer cette saison. Physiquement, cela pourrait compter. Le jeu turinois lui demande tout de même une énergie folle. L'équipe est combative, plus encore que talentueuse. Son 4-1 -4-1 a parfaitement fonctionné hier, avec un Andréa Pirlo rayonnant devant la défense. En mai, le champion du monde (32 ans) avait quitté le Milan après dix saisons au club. Alors qu'il était en fin de contrat, il demandait une prolongation de trois ans que l'équipe lombarde a refusé de lui donner. Conte est heureux de l'avoir récupéré. Mirko Vucinic, recruté cet été en provenance de l'AS Rome, a aussi flambé. À la 36e, l'attaquant monténégrin tirait sur la transversale, et aux 33e et 45e, il se créait deux autres occasions importantes. À la 47e, il fallait un miracle de Christian Abbiati devant Leonardo Bonucci pour éviter l'ouverture du score turinoise. À la 87e, la Juve était récompensée, au bout d'un double une-deux royal. Marchisîo, après des relais avec Arturo Vidal (autre recrue étincelante hier) et Vucinic, trouvait la faille. Il récidivait six minutes plus tard en battant un Abbiati hésitant. La Juve peut enfin croire à une saison heureuse.

Monday, October 3, 2011

Sunday, October 2, 2011

English Leagues the 70s: The North London Derby Tottenham Arsenal Division One 1978 1979

Day 20
23 December 1978
White Hart Lane,
London


Wembley, temple du football, objet sacré pour les Anglais, siège de la finale de la « Cup » l'épreuve la plus recherchée par les joueurs britanniques. Wembley un nom qui évoque tout un monde. Aucune équipe —même londonienne— n'y joue en permanence. Sa pelouse est conservée intacte pour les plus grandes occasions. Et les clubs de la capitale anglaise rêvent tous d'y disputer un jour le match suprême : la finale. Mais si nos voisins d'outre-Manche peuvent se permettre de laisser « en sommeil » pendant plusieurs mois de l'année ce monument de cent mille places, c'est parce que Londres est la capitale mondiale du football et que les terrains de jeu n'y manquent pas. Outre les espaces verts, si rares à notre époque, une dizaine de stades appartenant à des clubs professionnels se dressent ça et là. Aujourd'hui nous vous présentons ces équipes privilégiées dont certaines portent des noms prestigieux. A tout seigneur, tout honneur : Arsenal Football Club plus communément appelé « The Gunners » (les canonniers). Ce club possède après Liverpool le plus beau palmarès du royaume : huit fois Champion de Division 1, quatre victoires en « Cup » et une en Coupe des villes de Foires. Son stade est celui de Highbury.soixante mille places, au nord de Regent's Park. Cette saison, les « locomotives » de l'équipe sont le gardien Jimmy Rimmer, le défenseur nord-irlandais Pat Rice. les demis Peter Storey et Liam Brady (Eire) et les attaquants Georges Armstrong et Malcolm Mac Donald.

Le club situé le plus au nord de Londres est Totteham Hotspur (« the Spurs ») et son stade est celui de white Hart (52 000 places). Deux fois champions, cinq fois victorieux de la « Cup », deux fois de la League Cup, une fois de la Coupe des Coupes et une fois de la Coupe U.E.F.A. les « Spurs  tentent aujourd'hui, de revenir au premier plan après plusieurs années de discrétion. Les vedettes actuelles de l'équipe sont le gardien Pat Jennings (Irlande du Nord), le milieu Ralph Coates et l'attaquant Peter Taylor. 

  Toujours en Première Division, les Queen's Park Rangers représentent actuellement le grand espoir londonien de la course aux trophées. Battus de peu l'an dernier par Liverpool, les « Rangers » jouent sur le terrain situé South African Road (trente mille places) et peuvent compter cette saison sur le gardien Phil Parkes, les arrières David Clément et Franck Mac Lintock, les demis Gerry Francis et Don Masson et les avants Don Givens et Stan Bowles.
Enfin le dernier des quatre est West United (« the Hammers »). Son stade d'Upton Park (41 000 places) n'a jamais pu vibrer à la conquête d'un titre de champion de Première Division et les plus beaux exploits du club ont été fêtés en 1964 et en 1975 au stade de Wembley à l'occasion de deux finales victorieuses en « Cup », sans oublier la Coupe des Coupes 1965. Les meilleurs joueurs sont  Il faut ensuite se tourner vers la Deuxième Division pour trouver cinq autres équipes londoniennes. Tout d'abord Chelsea et son stade immense de Stamford Bridge (60 000 places). Une fois vainqueur du Championnat, de la Cup » et de la League Cup ainsi que la Coupe des Coupes, Chelsea lutte ardemment pour retrouver sa place en Première Division. Son principal adversaire pour la montée est Fulham (« the Cottagers »), qui joue sur le terrain de Craven Cottage (42 000 places). Et pour « damer le pion » à ses concurrents, Fulham a rappelé des Etats-Unis, Bobby Moore, George Best et Rodney Marsh. Quant à Orient, Charlton et Millwall leur but est de parvenir un jour à l'élite. Orient n'a joué qu'une saison en Première Division (62-63), Charlton, il.y a quarante ans et Millwall jamais. Enfin une des équipes les plus populaires actuellement à Londres est le Crytal Palace Football Club (« the Glaziers »). Son stade, Selhurst Park (51 000 places) est situé dans le sud à proximité de l'aéroport de Croydon.

Saturday, October 1, 2011