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CL.2024.2025.Real.Dortmund.FR.twb22.mp4
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Forcément, la plupart des yeux étaient rivés sur le remake de la dernière finale entre le Real Madrid et le Borussia Dortmund. Une affiche alléchante, avec un champion en titre qui voulait se refaire après sa surprenante défaite face au LOSC lors de sa dernière sortie européenne, alors que les Allemands eux venaient avec un bilan de deux victoires en autant de journées. Carlo Ancelotti sortait un onze très offensif, avec Modric, Bellingham et Valverde au milieu, et Vinicius, Mbappé et Rodrygo devant. Si Serhou Guirassy sonnait le premier avertissement du match, avec une frappe bien captée par Courtois, c’est le Real Madrid qui dominait d’entrée. Il y avait énormément de déchet technique, mais Kylian Mbappé se montrait volontaire et déterminé à faire mal aux Allemands. Les occasions se faisaient attendre, d’un côté comme de l’autre, jusqu’à ce que les troupes de Nuri Sahin parviennent à faire trembler les filets.
C’est un joueur de la Nationalmannschaft qui réduisait l’écart. Sur un centre de Kylian Mbappé, Antonio Rüdiger prenait le meilleur sur la défense et plaçait un coup de casque puissant pour faire trembler les filets (1-2, 60e). Et si Dortmund avait marqué pratiquement coup sur coup en première période, les Merengues allaient en faire de même. Trouvé par Modric, Mbappé était taclé par Schlotterbeck dans la surface. Mais le cuir revenait sur Vinicius, qui n’avait qu’à le pousser au fond (2-2, 62e). Revenus au score, les Madrilènes allaient chercher le troisième, avec une frappe de Mbappé bien stoppée par Kobel notamment (72e). Dortmund commençait tout de même à respirer un peu, même si Mbappé était encore dangereux avec cette tentative à angle fermé (80e). Et après une parade de Courtois sur Beier (83e), le Real Madrid allait crucifier le BVB. Un héros nommé Lucas Vazquez, qui expédiait un missile dans la lucarne (3-2, 84e). Puis, Vinicius Jr scellait le succès madrilène. Parti en contre, il se lançait dans un énorme rush dans la moitié de terrain rivale, puis, depuis l’entrée de la surface, plaçait un plat du pied parfait. Un véritable golazo (4-2, 87e). Il s’offrait même le triplé dans le temps additionnel avec une nouvelle action individuelle époustouflante, éliminant un défenseur puis battant Kobel avec une frappasse sous la barre. Le Real Madrid s’est fait peur mais a gagné, comme souvent
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