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-Pour succéder à Fernando Santos, démis de ses fonctions après l'échec de la Coupe du monde 2022, le Portugal s'est tourné vers Roberto Martínez qui a, lui aussi, manqué son Mondial qatari avec la Belgique.
José Mourinho, André Villas-Boas, Paulo Fonseca, Leonardo Jardim, Jorge Jesus, Abel Ferreira, Sérgio Conceição, Rúben Amorim, Bruno Lage, Paulo Sousa, Rui Jorge... Autant de noms qui ont été plus ou moins évoqués pour prendre la succession de Fernando Santos à la tête du Portugal. Leur point commun ? Ils sont tous portugais et prouvent que le pays du fado a un joli réservoir niveau entraîneurs. Sauf que la fédération a surpris tout le monde en offrant le poste à l’Espagnol Roberto Martínez, devenu le troisième étranger à devenir sélectionneur de la Selecção - après les Brésiliens Otto Glória et Luiz Felipe Scolari -, mais le premier non lusophone. Conscient que les champions d’Europe 2016 n’apprécient pas forcément de voir leur nouveau sélectionneur faire ses conférences de presse en espagnol, l’ancien boss de la Belgique a tenu à rassurer tout le monde : « Obrigado. Je vais essayer d'apprendre le portugais le plus rapidement possible. Je suis ravi d'entraîner l'une des sélections qui comptent le plus de talents au monde. Dès le début des discussions avec le président, j'ai compris que c'était le bon projet. Je veux intégrer dans mon staff un adjoint portugais qui a joué en Selecção. » Un discours séduisant qui ne suffit pourtant pas à calmer les critiques qui s’abattent déjà sur lui.
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