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On approche doucement mais sûrement du dernier tiers du championnat et les différents combats qui attendent les vingt clubs de l'élite commencent à se distinguer. Si un trio s'est sensiblement détaché pour le podium, la densité des clubs concernés par l'Europe ou le maintien annonce une fin de championnat particulièrement mouvementée. Et passionnante.
Le podium serait encore plus net si Marseille ne s'était pas incliné face à l'OL dans un match à rejouer pour les raisons que l'on sait (2-1). L'OM a ainsi manqué l'occasion de ravir la deuxième place à Nice mais reste assez solidement installé au troisième rang avec cinq longueurs d'avance sur son premier poursuivant, Strasbourg. L'écart peut paraître relativement mince dans l'absolu.
Mais c'est un avantage non négligeable pour un club qui, avec Nice et le PSG, s'est imposé dans le Top 3 par sa régularité cette saison. Dans ce trio, Paris s'est détaché comme le favori pour reprendre la couronne de champion de France abandonnée à Lille la saison passée. Loin d'être reluisante dans le jeu, la formation de Mauricio Pochettino n'en est pas moins sur une voie royale dans la course au titre avec 11 points d'avance sur son bourreau en 8e de finale de la Coupe de France, Nice. Un matelas bienvenu au moment où les Parisiens abordent la période la plus cruciale de leur saison avec le choc face au Real Madrid en Ligue des champions. Paris s'est laissé la possibilité de perdre quelques plumes en championnat.
Nice et Marseille pourraient éventuellement en profiter pour se rapprocher et, qui sait, donner un autre relief à la course au titre. En attendant, le Gym et l'OM sont clairement à leur place dans le trio de tête. Les meilleures défenses du championnat sont régulièrement celles des équipes les mieux classées à l'arrivée. Le constat est criant cette saison puisque les trois clubs de tête sont les moins perméables de Ligue 1 avec 18 buts encaissés chacun à ce stade de la saison. Une solidité à confirmer sur le dernier tiers du championnat. Mais elle laisse déjà penser que le podium commence doucement mais sûrement à se dessiner.
la course à l'Europe est particulièrement dense. Pas moins de huit équipes sont concernées à heure actuelle, puisque seulement trois points séparent Strasbourg, 4e au classement, de Lille, qui pointe pourtant beaucoup plus loin en 11e position. Tout peut changer d'une journée à l'autre dans une lutte qui s'annonce passionnante jusqu'au bout, tant elle pourrait se jouer au point près à l'heure du verdict. Voire à la différence de buts.Dans cette optique, Strasbourg (+15) et surtout Rennes (+20) ont pris un avantage assez net sur la concurrence. Les Alsaciens et les Bretons l'ont acquis en jouant la carte de l'offensive puisqu'ils possèdent respectivement la deuxième (44 buts) et la troisième attaque (41 buts) du championnat derrière le PSG (46 buts). C'est bien leur meilleur argument pour conserver leur place dans le Top 5 à l'approche du dernier tiers du championnat, même si les Rennais peuvent aussi s'appuyer sur leur qualité défensive (21 buts encaissés). Et une expérience de cette lutte pour l'Europe qui fait défaut aux Strasbourgeois. Un paramètre sur lequel comptent particulièrement Lyon, Monaco et Lille, trois clubs davantage attendus dans la course à la Ligue des champions que dans celle à la Ligue Europa. Trois clubs qui, comme Rennes, vont également devoir jongler entre le championnat et la Coupe d'Europe. Ils ne sont pas forcément ressortis du mercato hivernal aussi bien armés pour livrer ces combats. Si l'OL, totalement relancé après sa victoire contre Marseille (2-1), a su compenser le départ de Bruno Guimarães par les arrivées de Tanguy Ndombélé et Romain Faivre, le champion lillois semble bien moins loti après avoir perdu deux titulaires, Jonathan Ikoné et Reinildo.
Angers (29 points) et Brest (28 points) sont légèrement distancés dans la course à l'Europe et bien partis dans celle au maintien. Reims (24 points) n'est pas encore à l'abri d'une relégation, mais les Rémois ont sept longueurs d'avance sur le premier relégable et une différence de buts (-5) nettement plus favorable que toutes les équipes dont la survie dans l'élite est actuellement menacée. S'ils ont moins de marge que les Angevins et les Brestois, les Champenois sont plutôt dans le fameux "ventre mou" de notre championnat que dans la lutte pour le maintien.
Elle concerne véritablement six équipes qui se tiennent en six points à ce stade de la saison. Avec des profils divers. Deux promus, Clermont et Troyes, dont l'ambition de ne pas faire "l'ascenseur" était déjà assez nette à l'entame de la saison.
Deux clubs relativement habitués à se battre pour survivre en Ligue 1, Metz et Lorient. Et deux monuments en péril, Bordeaux et Saint-Etienne. Si la pression est évidemment importante sur tous ces clubs, si une descente serait dramatique pour chacun d'entre eux, c'est certainement encore plus le cas pour les deux derniers cités.Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si les Verts et les Girondins ont été parmi les clubs les plus actifs dans le mercato hivernal. L'ASSE a surtout été très inspirée de remporter son match en retard à Angers (0-1) pour revenir à quatre longueurs de Metz, l'actuel barragiste. Avec un coach dont la réputation de meneur d'hommes n'est plus à faire en la personne de Pascal Dupraz, Saint-Etienne s'est donné des arguments pour sauver sa place dans l'élite. Mais il ne faut pas se leurrer. A l'image de cinq équipes qui le précède au classement, Saint-Etienne est parti pour trembler jusqu'au mois de mai.
La Française Stéphanie Frappart gravit les échelons de l'arbitrage à toute vitesse. En arbitrant Juventus Turin-Dynamo Kiev (3-0) début décembre 2020, elle était devenue la première femme à officier en Ligue des champions, et sa performance ce soir-là, maîtrisée, avait été saluée par la presse.Discrète, diplomate, animée d'une volonté de fer. Tels sont les mots utilisés pour désigner Stéphanie Frappart. Du haut de son mètre soixante-quatre, cette Française de 35 ans fut déjà la première à arbitrer la Super Coupe de l'UEFA, le 14 août 2019 entre Chelsea et Liverpool. Selon un communiqué, l'UEFA avait "choisi d'innover" en la désignant comme arbitre et de tenter "la première rencontre masculine majeure arbitrée par une femme". Le match a eu lieu au Besiktas Park d'Istanbul, en Turquie, un pays où l'ambiance footballistique s'échauffe facilement...Mais Stéphanie Frappart n'est pas une novice dans le monde du football. Elle était la première à diriger des matches masculins en Ligue 2, avant de rejoindre l'élite en Ligue 1.
Amel Majri
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Amel Majri, en convalescence après une grave blessure au genou, a annoncé attendre un enfant. La footballeuse, qui évolue à l’Olympique lyonnais, en a informé son club qui assure mettre « tout en œuvre pour l’accompagner durant les prochains mois ». L’ailière, âgée de 29 ans, fera également défaut à l’équipe de France pour laquelle elle compte 66 sélections et 11 buts. C’est la première fois dans l’histoire du féminin français, qu’une internationale est enceinte.
Six fois championne d’Europe avec Lyon, Amel Majri « continuera d’être suivie de près par le staff médical du club pour poursuivre sereinement sa grossesse et la rééducation de son genou gauche, opéré en octobre dernier à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur et du ligament latéral externe », indique l’OL.
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