Friday, March 5, 2021

First Division 1979 1980 Ipswich Town Manchester United

Saturday 1 March 1980
Portman Road
Referee A. Robinson
Attendance 30120

This match, which dates back to 1980, featured an Ipswich side a million miles from the one that exists today. They had recently won the FA Cup, were often in the top four and would very soon go on to life the UEFA Cup, and that actually meant something back then. Still, 6-0 is a hell of a beating, especially when you count the number of penalties young Gary Bailey saves (it’s more than one).

Division One 1980 1981 Liverpool Ipswich Town

Anfield Road 
11th Round
11 October 1980 
Attendance: 48,084
Referee Alex Hamil 
 
Liverpool  Clemence, Neal, Cohen, Thompson, R.Kennedy, Hansen, Dalglish, Lee, Johnson, McDermott, Souness
Goal(s)     McDermott (pen 39)
Ipswich Town     Cooper, Burley, Mills, Thijssen, Osman, Butcher, Wark, Muhren, Gates, McCall +1
Goal(s)     Thijssen (28)

Hungary Special : Various Resumes of Clubs and National Team

  Le 25 novembre 1953 est une journée qui a probablement changé à jamais le football. Là, sur la pelouse de Wembley, l'Angleterre y perdit son invincibilité à domicile, ainsi que ses derniers complexes de supériorité: 6-3 pour une sélection magyare que l'on appelait déjà Aranycsapat, l'équipe en or. Au-delà du score, diablement spectaculaire, c'est la manière qui marqua les esprits. « On n'avait jamais vu une équipe jouer ainsi », raconta, quelques années plus tard, Bobby Robson, témoin direct de la démonstration hongroise de l'Empire Stadium. « C'est comme si on venait de voir débarquer des Martiens ! » La leçon donnée aux Anglais était notamment le fait d'une demi-douzaine de joueurs au talent hors du commun : Puskas, Czibor, Hidegkuti. Bozsik, Kocsis ou encore Grosics. Des artistes épaulés par cinq autres solides éléments. La sélection magyare, comme l'a indiqué Robson, se démarquait également et surtout par un style de jeu étourdissant, fait de maîtrise du ballon, d'accélérations meurtrières et de combinaisons offensives raffinées, le tout à un rythme très soutenu. Cette «Grande Hongrie» possédait un sacré chef d'orchestre: Gusztav Sebes. le séiectionneur. Si ce dernier n'a pas connu la même postérité que ses joueurs, son importance n'en est pas moins capitale. Sebes n'était pas qu'un «assembleur de talents».