L'entraîneur Bearzot, qui a su redonner à la Squadra le goût de l'offensive, peut compter sur un effectif d'une quinzaine de titulaires interchangeables : Zoff, Cuccureddu, Tardelli, Mozzini, Scirea, Facchetti, Manfredonia, Gentile, Benetti, Zaccarelli, Antognognoni, Claudio Sala, Causio, Graziani et Bettega. A noter cependant que sur ces quinze noms, douze sont de la Juventus ou du Torino. Les exeptipns sont le vieux lion milanais Facchetti, le jeune Manfredonia de la Lazio de Rome et le stratège florentin Anto-gnoni. Un gage d'unité d'ensemble. Dino Zoff, avec plus de soixante sélections, gardera les buts comme il le fit il y a quatre ans en R.F.A. A l'arrière, deux problèmes : la présence de Facchetti, concurrencé dans son club par le jeune Bini, face à la montée de Scirea et de Manfredonia et le déplacement éventuel du brillant Tardelli au milieu du terrain avec, en conséquence, le retour de Cuccureddu.
Cela si Zaccarelli ne se remettait pas assez vite de ses blessures contre Bastia. Benetti, le « chien de garde » et Antognoni, l'« ange de la Fiorentina », tiendront leur place en ligne médiane. L'attaque, elle, est royale avec Causio, au jeu semblable à celui de Riyelino, Graziani, le taureau du Torino et Bettega, le joueur chéri des Italiens, à coup sûr le meilleur joueur de tête du monde à l'heure actuelle. Les trois buts qu'il marqua ainsi contre les Finlandais à Turin en ont fait, si besoin était, un héros national. A signaler enfin la possible incorporation du jeune Rossi, le buteur de Lanerossi Vicence. Après le tirage au sort, les Italiens n'étaient pas persuadés du tout avoir fait une bonne opération en demandant à jouer dans le groupe de l'Argentine (pays supposé par eux être le moins fort des têtes de liste). En effet, ce qu'ils redoutaient arriva : la présence de deux nouvelles équipes de très bon niveau, les Français et les Hongrois.
En 1974, en Allemagne, les Italiens étaient déjà tombés dans le groupe de l'Argentine. A Stuttgart, pour le compte du groupe IV, ils avaient obtenu un résultat nul, un à un, les deux buts de la rencontre ayant été inscrits par deux Argentins : Housemann pour ses couleurs et Per-fumo contre son camp. La rencontre Italie-Hongrie rappellera aux deux nations des souvenirs de finale de Coupe du Monde jouée en... 1938 à Colombes. Ce jour-là, le 19 juin, les Italiens avaient battu les Hongrois par quatre buts à deux devant cinquante mille spectateurs, sous l'œil vigilant de l'arbitre français, M. Cap-deville. Beaucoup plus récemment, l'an dernier, l'équipe hongroise avait rendu visite à la Juventus de Turin, ce qui avait permis un premier contact entre Pinter, Varadi, Tardelli et Bettega.En ce qui concerne la France, la rencontre de Naples du 8 février aura permis aux deux formations de faire le point sur leur niveau l'une par rapport à l'autre. Ensuite, en Argentine, l'Italie pense jouer dans une ambiance favorable. A moins que le public ne voie en elle, malgré des origines communes, l'adversaire numéro un des Argentins ??!!
Group 2 Match Aller
Olimpico, Roma
17 Novembre 1976
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England flew from Rome beaten for the first time in the current World Cup qualifying tournament and with their hopes of reaching the finals in Argentina in 1978 flickering only faintly. The sad fact is that England played as well as they were able, but could never match Ihe liquid skills of the Italian mas-ler craftsmen. That is even more depressing than the 2-0 scoreline. To prevent Italy lining up in the last 16, Don Revie's men almost certainly will have to win the return match, preferably by three clear goals, because the other nations in the group. Finland and Luxembourg, are merely making up Ihe numbers.
Italy's first goal came after 36 minutes, following a foul on Causio just outside England's penally box. Causio lapped the ball to Antogmmi, who drove it al the England wall and got a crucial deflection off Keegan's body. A rout seemed on, but Italy allowed England back into the game — at least until 12 minutes from time, when they sealed victory with a brilliant second goal. Causio found Benetti on the lefl and. as his low cross came over, Bettega launched himself at it to head past Clemence in goal.
Group 2 Match Retour
Wembley London
16 Novembre 1977
England: Ray Clemence Phil Neal Trevor Cherry Ray Wilkins Dave Watson Emlyn Hughes (c) Kevin Keegan off 83' Steve Coppell Bob Latchford off 75' Trevor Brooking Peter Barnes Stuart Pearson on 75' Trevor Francis on 83'
Italia: Dino Zoff Marco Tardelli Roberto Mozzini Giacinto Facchetti (c) off 83' Claudio Gentile Renato Zaccarelli Romeo Benetti Giancarlo Antognoni Franco Causio Francesco Graziani off HT Roberto Bettega Antonello Cuccureddu on 83' Claudio Sala on HT
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Que voulez-vous que fassent le Luxembourg et la Finlande face à deux géants comme l'Italie et l'Angleterre? Qu'ils les regardent s'entredéchirer et qu'ils arbitrent ce duel ? Eh bien, c'est ce qu'ils ont fait. L'Italie gagnant 2 àO et l'Angleterre faisant de même à Wem-bley, ce sont les autres matches qui ont fait la différence. A ce petit jeu ce sont les Italiens qui se sont révélés les meilleurs notamment en allant triompher 4 buts à 1 au Luxembourg, alors que les Anglais ne pouvaient faire mieux que 2 à 0. Nous retrouverons donc les Italiens finalistes malheureux en 1970 face au Brésil et devrons patienter encore quatre ans pour revoir le football anglais, décidément bien malheureux sur le plan international. Attendons donc de voir ce que peut faire la Squaddra Azzura que l'on dit totalement changée depuis qu 'elle est passée sous la direction de l'entraîneur Bearzor. Avec des joueurs de la classe de Zoff, Gentile, Causio, Bettega et autres Graziani, l'Italie peut jouer un rôle très intéressant.
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Que voulez-vous que fassent le Luxembourg et la Finlande face à deux géants comme l'Italie et l'Angleterre? Qu'ils les regardent s'entredéchirer et qu'ils arbitrent ce duel ? Eh bien, c'est ce qu'ils ont fait. L'Italie gagnant 2 àO et l'Angleterre faisant de même à Wem-bley, ce sont les autres matches qui ont fait la différence. A ce petit jeu ce sont les Italiens qui se sont révélés les meilleurs notamment en allant triompher 4 buts à 1 au Luxembourg, alors que les Anglais ne pouvaient faire mieux que 2 à 0. Nous retrouverons donc les Italiens finalistes malheureux en 1970 face au Brésil et devrons patienter encore quatre ans pour revoir le football anglais, décidément bien malheureux sur le plan international. Attendons donc de voir ce que peut faire la Squaddra Azzura que l'on dit totalement changée depuis qu 'elle est passée sous la direction de l'entraîneur Bearzor. Avec des joueurs de la classe de Zoff, Gentile, Causio, Bettega et autres Graziani, l'Italie peut jouer un rôle très intéressant.
17 juin 1970, Mexico : finale Brésil-Italie du « Mundial » mexicain. 31 mai 1976, New Haven : finale Brésil-Italie du tournoi du Bicentenaire aux U.S.A. Bilan : deux défaites par le même score de quatre buts à un. Des résultats bien significatifs de nos amis italiens : une présence régulière au haut niveau de la compétition internationale, mais des nerfs qui peuvent craquer sur une seule rencontre décisive. Encore que leur fameuse demi-finale à Mexico, face aux Allemands, et qu'ils avaient gagnée quatre buts à trois après prolongations, fasse partie des dix plus beaux matches de l'histoire. Cette fois encore, la qualification pour l'Argentine s'est passée sans obstacle majeur. Dans le groupe à quatre qui était le leur, ne figurait qu'un adversaire dangereux : les Anglais. Au stade olympique de Rome, la « Squadra Azzura » prit un avantage certain en remportant le premier choc par deux buts à zéro grâce à Antognoni et Bettega. Avec de meilleurs résultats au goal-average contre la Finlande et le Luxembourg, ils purent effectuer le déplacement de Wembley en toute sécurité et leur défaite deux à zéro, ce soir-là, est surtout à porter au désir des Anglais de sauver leur honneur. .
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